Chaque été, un lieu paisible attire les proches de Jean-Jacques Goldman. Derrière ses murs chargés de souvenirs, l’artiste cultive un art de vivre simple et sincère. Loin du tumulte, il entretient un lien fort avec ceux qu’il aime. Cette maison, nichée en Bourgogne, reste le symbole discret d’un équilibre qu’il préserve avec élégance et authenticité.
Havre discret de Jean-Jacques Goldman pour des retrouvailles
Figure phare de la chanson française, Jean-Jacques Goldman cultive la réserve. Le 11 octobre, il a fêté ses 74 ans, serein et loin du tumulte. Sa vie privée demeure une boussole, car elle protège l’équilibre. Cette constance séduit, puis elle nourrit une curiosité intacte, sans besoin d’apparitions répétées.
Les apparitions publiques restent rares, et ce rythme assumé apaise l’entourage. Il privilégie les moments partagés, car la famille passe avant les plateaux. Ce choix renforce un lien simple et durable. On comprend alors pourquoi la maison bourguignonne concentre l’attention, puisque chacun y trouve sa place, à son rythme, sans contrainte.
L’artiste possède plusieurs demeures, dont une adresse londonienne, et pourtant la Bourgogne s’impose. Cette résidence emporte l’adhésion, car elle réunit la tribu. Loin des projecteurs, l’esprit des lieux s’impose, puis il s’inscrit dans le temps. On y revient, on s’y repose, on s’y retrouve, comme dans une grande maison d’hôtes.
Une maison de Bourgogne pensée pour accueillir tout le monde
Il y a quelques années, l’achat s’est imposé comme une évidence. La bâtisse a été pensée pour héberger, car l’idée d’accueil guide chaque choix. Les volumes sont généreux, et l’esprit reste simple. On vient s’y reposer, puis on repart léger. La porte s’ouvre souvent, sans protocole, avec une chaleur constante.
Au quotidien, Jean-Jacques Goldman y partage des instants paisibles avec Nathalie Thu Huong-Lagie. Les séjours s’enchaînent selon les calendriers, et la flexibilité rassure. La maison favorise les échanges, car tout invite à s’asseoir et parler. Les rires circulent, puis les souvenirs s’écrivent sans effort, autour d’une table qui réunit plusieurs générations.
Les pièces à vivre prolongent la conversation. Plusieurs chambres accueillent la tribu, et le grand jardin élargit l’espace. On y prépare des fêtes, on y savoure des vacances, puis on s’y retrouve en toutes saisons. Le lieu épouse les besoins de chacun. Rien d’ostentatoire, tout d’utile, avec un confort pensé pour durer.
L’été, Jean-Jacques Goldman réunit un clan élargi
La fille aînée, Caroline, l’a résumé dans Marianne : « C’est le pilier familial. L’été, sa maison de Bourgogne ne désemplit pas. Il faut presque réserver. » La formule dit tout, car l’adresse s’organise comme une maison d’hôtes. On s’inscrit, puis on s’adapte, et l’ambiance reste légère, joyeuse, accueillante.
Le lieu absorbe le mouvement estival. Les grandes pièces vivent au rythme des repas, et le jardin prolonge les journées. On improvise des activités, puis on prend du temps pour rien. L’énergie circule sans contrainte, car chacun trouve son tempo. Cette souplesse entretient l’envie de revenir, été après été, sans lassitude.
À 74 ans, l’artiste veille sur un large cercle. Il a trois enfants âgés de 17 et 20 ans avec son épouse actuelle, et trois autres issus de son premier mariage avec Catherine Morlet. Onze petits-enfants complètent le clan. Ici, Jean-Jacques Goldman relie les générations, puis il nourrit une tradition familière qui grandit.
Ce que cette maison dit d’un héritage familial vivant
Cette demeure raconte une manière d’être ensemble, simple et durable. On s’y inscrit avec naturel, puis on repart apaisé. Le cadre protège la discrétion, car l’essentiel se vit dans la confiance. Au fil des étés, Jean-Jacques Goldman transforme une adresse en repère. Le lieu grandit avec la famille, et la famille s’y reconnaît.
